Après les accusations de maltraitance visant la pouponnière de Ndella Madior Diouf, elle a été cueillie hier chez elle et placée en garde à vue. Et selon le journal Libération, la pouponnière, fonctionnelle depuis 2022, n’avait aucune autorisation d’ouverture.
D’après Libération, les policiers ont été saisis par une femme qui, après avoir déposé son enfant à la pouponnière, a été rançonnée pour le récupérer. L’enquête, qui vient de débuter, a révélé que la pouponnière, fonctionnelle depuis 2022, n’avait aucune autorisation d’ouverture.
Pour seul justificatif, Ndella Madior Diouf a affirmé, lors de son audition, avoir introduit une demande à cet effet. Pourtant, elle recevait des enfants de 0 à 16 mois de la part de mamans désabusées. Ces mêmes enfants étaient « adoptés » par des tiers dans les mêmes conditions.