Présidentielle 2024 : Le Qatar entre en action !
Karim Wade se prépare à rentrer au bercail. Le « canard enchainé » lâche la bombe de…
Karim Wade se prépare à rentrer au bercail. Le « canard enchainé » lâche la bombe de l’argent du Qatar qui aurait inondé le Sénégal. Ousmane Sonko est dans le collimateur d’hommes d’affaires qui arguent l’avoir bétonné en milliards contre des promesses pétrolières liées à son éventuelle ascension à la tête du pays. Le Président Macky Sall a été mis au parfum de ce supposé deal .Qu’en est-il de cet imbroglio géostratégique par rapport à la présidentielle de 2024 ?
La présidentielle de 2024 pointe à l’horizon, le Qatar entre en action. L’arbre qui pourrait cacher la forêt des hypothèses les plus tenaces bascule dans un contexte politique sénégalais qui semble battre au rythme de ces riches pays en pétrodollars. Depuis lustre, Karim Wade reste terré au Qatar.
Réhabilité par le biais d’un dialogue politique du Macky, le fils de Wade se préparerait à rentrer au bercail pour aborder l’échéance majeure. Vraisemblablement, un concours de circonstances semble de mise avec les accusations de financements occultes supposées sur le leader de l’ex-Parti Pastef.
Et ce, au moment où le Président de la République participait au sommet de Dubaï sur le climat. A raison où à tort, le Qatar semble s’intéresser de près ou de loin à la présidentielle Sénégalaise ou comme telle. A défaut des merles, c’est des grives est-on tenté de dire. Si Sonko ne fera pas partie des postulants de la présidentielle retenus par le Conseil constitutionnel, Karim Wade et Khalifa Sall entre autres, pourraient passer ce cap.
Mais tout en constituant une menace politique sérieuse pour le candidat de la mouvance présidentielle. Quand bien même, l’évincement du chef de fil des Patriotes comme candidat sera une bouffée d’oxygène pour Benno, mais d’autre part,ce sera une potentielle menace pour Amadou Bâ.Du coup, le Qatar entre action en ce sens qu’il reste lié au fils de Wade.
Et le fait que les révélations du « Canard enchainé » ait mentionné l’argent de ce « pays riche en pétrodollars qui inonderait le Sénégal », en dit long sur les enjeux géostratégiques que constitue présentement le Sénégal.
De toute évidence, ce concours de circonstances à grands renforts d’allégations de la part du député apèriste Matar Diop, sur ces financements occultes qu’aurait reçu Ousmane Sonko présentement en détention, met en exergue l’arbre du Qatar qui cache mal la forêt des manœuvres géostratégiques les plus subtiles qui risquent d’impacter d’une manière ou d’une autre la présidentielle de 2024.