Une enquête menée par le quotidien d’information Libération révèle l’existence d’une pharmacie illégale opérant dans un quartier réputé de la capitale sénégalaise. Derrière une façade discrète, un vaste réseau commercial proposait des produits non autorisés, promettant des effets spectaculaires sur l’image corporelle et la santé.
Le dispositif, digne d’une entreprise moderne, incluait un centre d’appels de 25 agents, des marchandises importées, et une logistique de livraison bien rôdée. L’objectif ? Vendre massivement des produits à base de substances non homologuées, avec des slogans séduisants ciblant les problématiques telles que la perte de cheveux ou l’amélioration de la silhouette.