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Accusations de trafic de fichier électoral : Mame Boye Diao brise le silence

Mame Boye Diao a réagi par rapport au présumé trafic de fichier électoral dans lequel il est cité. Le candidat déclaré à l’élection présidentielle du 25 février 2024 invite ses militants à faire focus et de ne pas se tromper de combat. Il s’exprimait, à l’occasion de la remise de 15000 parrainages et 5 millions de fr cfa par le Mouvement National des enseignants de la coalition Diao 2024 coordonné par Mamadou Dioh, ce mercredi, à Dakar.

« Nous nous battons dans le cadre d’une conquête collective que nous déterminons ensemble que nous exécutons ensemble que nous évaluons au besoin pour rectifier ensemble. Je vous invite à continuer dans ce même procédé là sur toutes les actions que nous avons tenues« , a déclaré Mame Boye Diao.

Le candidat de la coalition Diao 2024 est trés déterminé pour aller au bout de son engagement. « La perspective dans laquelle nous nous inscrivons c’est un combat pour le Sénégal. Il ne faudrait pas qu’on se trompe d’objectif. Je ne me divertis pas, je ne veux pas que vous soyez divertis par des actions qui peuvent être mener par vos adversaires quelqu’ils soient. Nous ne trompons plus de combat ni d’adversaires, laissons les tomber dans leur agitation et continuons le travail. Les Sénégalais nous écoutent, ils aiment entendre notre discours portons notre discours. Éviter de ce faire divertir et concentrons nous sur ce que nous devons faire« , a-t-il dit devant la presse.

Dans la foulée de cette rencontre, le Mouvement National des enseignants de la coalition Diao 2024 coordonné par Mamadou Dioh a remis 15000 parrainages et 5 millions à Elhadji Mamadou DIAO.

Voici l’intégralité de sa déclaration :

Nous avons décidé de travailler de façon collégiale parce que nous ne voulons pas tomber dans le piège d’un exercice solitaire du pouvoir demain. Donc si vous ne voulez pas tomber dans le piège d’un exercice solitaire du pouvoir vous devez d’abord créer les conditions d’une conquête collective. Nous nous battons dans le cadre d’une conquête collective que nous déterminons ensemble que nous exécutons ensemble que nous évaluons au besoin pour rectifier ensemble. Je vous invite à continuer dans ce même procédé là sur toutes les actions que nous avons tenues.

La perspective dans laquelle nous nous inscrivons c’est un combat pour le Sénégal. Il ne faudrait pas qu’on se trompe d’objectif. Je ne me divertis pas, je ne veux pas que vous soyez divertis par des actions qui peuvent être mener par vos adversaires quelqu’ils soient.

Nous ne trompons plus de combat ni d’adversaires, laissons les tomber dans leur agitation et continuons le travail. Les Sénégalais nous écoutent, ils aiment entendre notre discours portons notre discours. Éviter de ce faire divertir et concentrons nous sur ce que nous devons faire. Les défis sont immenses en matière d’offre sur la question globale de l’éducation nationale du Sénégal. Sur l’introduction des langues nationales dans le cursus scolaire des le primaire. Nous nous le faisons un instrument passerelle, un instrument économique pour créer des instruments de validation de tout ce qu’il y a comme stratégie d’apprentissage qui est aujourd’hui informel dans le pays mais qui concerne des métiers connus dans l’artisanat. Et l’introduction des langues nationales dans nos mœurs éducatives doivent permettre d’avoir un bon humain qualitatif significatif.

L’autre défis auxquels nous nous attendons c’est de pouvoir créer toute de suite une école de la deuxième chance. Mais de mieux la consolider en refusant qu’en échec scolaire signifie qu’on compromet l’avenir d’un jeune du Sénégal. C’est de trouver des mécanismes qui permettent de la prise en compte du destin et construire un jeune juste s’il réussit à l’école qu’il puisse être accueilli par d’autres institutions qui pourront le former à des métiers et qui lui permettront de pouvoir évoluer dans toutes la dignité qui s’y pour le Sénégal.

L’autre défis, c’est la réforme globale de l’enseignement supérieur dans notre pays. Ceci nous nous appelle tous à plus d’intelligence stratégique. Les curuculats de formation doivent être revus pour que nous soyons conforme aux normes internationales ou les métiers nouveau ou les filières qui sont en corrélation avec le cadre socio de notre pays doit être pris en compte.

Il faut qu’on réforme l’ensemencement professionnels aussi. Parce outre le choix de démocratiser l’enseignement dans tout le pays. Il doit avoir des critères clairs qui puissent assainir et qui puisse permettre des instruments de validation de leur enseignement aussi puissent être connu de tous sans que le jeune Sénégal n’est besoin de sortir d’une école et continue de rester au chômage

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