Ngouda Mboup : « J’ai la conviction ferme, si le droit est dit, que Sonko sera rétabli dans ses droits… »

0

L’enseignant-chercheur en droit public à l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD)…

kuyfyrt Jallale.net L'actualité en direct, où que vous soyez

L’enseignant-chercheur en droit public à l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD), Mouhamadou Ngouda Mboup estime que le juge des référés est le juge de l’instant et de l’immédiat.

« L’audience d’hier concernait juste LA DEMANDE D’UNE MESURE DE SAUVEGARDE ET N’A AUCUNE INCIDENCE SUR L’AUDIENCE DE ZIGUINCHOR », explique Mouhamadou Ngouda Mboup.

Selon lui, il était simplement demandé au juge des référés, en l’espèce au Premier Président de la Cour suprême (et non à la Chambre administrative ni à la Cour suprême en formation de jugement, « contrairement à ce qui est relayé par certains) de PRONONCER UNE MESURE PROVISOIRE, CONSERVATOIRE, DE SAUVEGARDE D’UNE LIBERTÉ FONDAMENTALE ».

« LA REQUÊTE AUX FINS DE LA CONTESTATION DE LA RADIATION ILLÉGALE DU PRÉSIDENT OUSMANE SONKO EST DE LA COMPÉTENCE DU TRIBUNAL D’INSTANCE DE ZIGUINCHOR (TI) QUI DOIT STATUER DANS 6 JOURS », déclare-t-il.

« L’état de contumace étant dépassé depuis son arrestation et matérialisé par un acte de non acquiescement et d’une demande d’enrôlement, j’ai la conviction ferme, si le droit est dit, que le Président Ousmane SONKO sera retabli dans ses droits. Ousmane SONKO conserve l’intégralité de ses droits, sera candidat et participera à l’élection présidentielle du 25 février 2024 », ajoute l’enseignant-chercheur en droit public à l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD).

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *